Objectifs 2021 - Quels sont les vôtres?

[M914]

Pour ma part, je délaisse les endroits trop fréquentés par les pelotons (Parc de la Gatineau) et retrouve la tranquilité des petites routes et des chemins plus éloignés. J'ai également croisé quelques cyclistes portant masque ou foulard, mais nous ne sommes pas légion.

[beanic]

J'aimerais bien marquer le coup par un exploit spécifique. Mon dernier date de 2017 où j'avais participé à la populaire de 140 km du CVRM. Mais une vilaine chute au 2/3 du parcours avais coupé net ma volonté du vélo. Au 22 avril de cette année là, j'avais déjà cumulé 500 km. Toutefois j'étais à cette époque obèse et je sortais de quelques année de sédentarité.

Je vais chercher à capitaliser sur ma perte de 45 livres en 3 ans afin de reprendre des ailes perdus depuis trop longtemps. J'ai fait pas mal de ski alpin de manière intense cet hiver, ce qui me permet d'arriver sur ma selle avec une certaine forme. Quoique l'arrêt de 3 semaines entre les deux saisons m'a déjà fait perdre une partie de ma forme. N'empêche que ça demeure préférable que de partir depuis une condition de sédentarité complète.

Bref, je suis dans une position où je prends conscience que ma santé va beaucoup mieux. Mais je reste dans l'insécurité considérant que je reviens de loin. Donc suis-je trop gourmand à espérer réussir non seulement le 140 km du 24 avril prochain, mais aussi le 200 km suivant le 1er mai ?

[M914]

Donc suis-je trop gourmand à espérer réussir non seulement le 140 km du 24 avril prochain, mais aussi le 200 km suivant le 1er mai ?

A séparer ton 140 km en plusieurs tranches pendant la journée, c'est possible, mais ca reste très ambitieux. Pourquoi un 140 km? Un coup d'éclat pourrait être un 75 km ce qui serait un excellent début après avoir mis le vélo sur pause pendant quelques années. Ne pas oublier l'inconfort sur la selle qui viendra après une heure à pédaler. De plus, à une moyenne très respectable de 28 km/h, ton 140 prendra au minimum 5 heures (sans pauses). C'est long longtemps sur la selle quand tu n'es plus habitué.

Aussi, n'oublie pas de faire une vérification sommaire de ton vélo avant ton défi. Parfois, nous oublions cette étape et des surprises surviennent sur la route.

Peu importe ta ou tes décisions, je te souhaite d'avoir du plaisir à réaliser tes défis.

[Reggisella]

J'aimerais bien marquer le coup par un exploit spécifique. Mon dernier date de 2017 où j'avais participé à la populaire de 140 km du CVRM. Mais une vilaine chute au 2/3 du parcours avais coupé net ma volonté du vélo. Au 22 avril de cette année là, j'avais déjà cumulé 500 km. Toutefois j'étais à cette époque obèse et je sortais de quelques année de sédentarité.

Je vais chercher à capitaliser sur ma perte de 45 livres en 3 ans afin de reprendre des ailes perdus depuis trop longtemps. J'ai fait pas mal de ski alpin de manière intense cet hiver, ce qui me permet d'arriver sur ma selle avec une certaine forme. Quoique l'arrêt de 3 semaines entre les deux saisons m'a déjà fait perdre une partie de ma forme. N'empêche que ça demeure préférable que de partir depuis une condition de sédentarité complète.

Bref, je suis dans une position où je prends conscience que ma santé va beaucoup mieux. Mais je reste dans l'insécurité considérant que je reviens de loin. Donc suis-je trop gourmand à espérer réussir non seulement le 140 km du 24 avril prochain, mais aussi le 200 km suivant le 1er mai ?

Je te conseil de faire du «volume» avant d'attaquer des longues distances... Débute par un ou deux randonnées de +/- 60-80 kms. Par la suite monte à +/- 120kms puis +/- 140kms. vise un 200kms pour le long week-end-end de la fête des Patriotes. Je pratique la longue distance depuis plusieurs années et l'important est d'y aller par palliers. Quand tu auras, un 200kms, tu pourras penser à monter à 300kms, si le couvre-feu peut-être une chose du passé....

[Felizecat]

J'aimerais bien marquer le coup par un exploit spécifique. Mon dernier date de 2017 où j'avais participé à la populaire de 140 km du CVRM. Mais une vilaine chute au 2/3 du parcours avais coupé net ma volonté du vélo. Au 22 avril de cette année là, j'avais déjà cumulé 500 km. Toutefois j'étais à cette époque obèse et je sortais de quelques année de sédentarité.

Je vais chercher à capitaliser sur ma perte de 45 livres en 3 ans afin de reprendre des ailes perdus depuis trop longtemps. J'ai fait pas mal de ski alpin de manière intense cet hiver, ce qui me permet d'arriver sur ma selle avec une certaine forme. Quoique l'arrêt de 3 semaines entre les deux saisons m'a déjà fait perdre une partie de ma forme. N'empêche que ça demeure préférable que de partir depuis une condition de sédentarité complète.

Bref, je suis dans une position où je prends conscience que ma santé va beaucoup mieux. Mais je reste dans l'insécurité considérant que je reviens de loin. Donc suis-je trop gourmand à espérer réussir non seulement le 140 km du 24 avril prochain, mais aussi le 200 km suivant le 1er mai ?

Il y a plusieurs moyens d'y arriver, comme tu peux le voir avec les commentaires de M914 et Reggisella.

Ça dépend surtout du temps que tu peux investir d'ici le 24 avril. Si tu peux t'entrainer tous les jours d'ici là, on parle d'un entrainement par pallier en accroissant les distances et la vitesse très progressivement d'ici là, tu pourrais faire le 140 km, probablement moins rapide mais plus endurant.

Mais il y a deux approches: allez vite pour être le mons longtemps possible sur la selle, ce qui demande un cardio adapté (et une gestion de l'alimentation serrée), ou encore, tu t'entraines à vitesse contemplative pour développer de la corne aux fesse, et ainsi rester longtemps en selle. Ça aussi demande un entrainement en endurance, mais moins exigeant en alimentation, et plus proche de la randonnée d'agrément que de la compétition.

Quand je m'entrainais pour les randonnées du CVRM, je le faisais avec un pignon fixe. Je partais pour la plus longue distance que je me sentais capable, et une fois fatigué, je revenais, surtout les week-ends, mais parfois de soir aussi. Ça m'a permis de développer le goût de la longue distance, l'endurance, et le cardio à travers tout ça. Le but était d'aimer ça et entretenir ce goût-là. Quand tu fais de la longue distance, le mental joue à mesure que la distance augmente. Mon premier brevet a été le 200km en mai 2020, puis un deuxième en juin. Le 24 juillet, j'ai fait le 600, en 37 hres... Je n'ai fait le 300 et le 400 que l'année suivante, et la randonnée populaire m'ennuyait. Et c'est pas parce que je suis rapide; je suis assez moyen en terme de vitesse.

Pour en revenir à ta question, le brevet populaire de 140km n'est pas une étape obligée. Tu gagneras à prendre le temps de progresser et ensuite, en venir à une distance que tu te sentiras en confiance d'aborder. Ce sera peut-être le 300, qui sait, et pourquoi pas?

En passant, félicitations pour ta perte de poids et tes gains de condition physique. Bravo!

[dweezz]

J'aimerais bien marquer le coup par un exploit spécifique. Mon dernier date de 2017 où j'avais participé à la populaire de 140 km du CVRM. Mais une vilaine chute au 2/3 du parcours avais coupé net ma volonté du vélo. Au 22 avril de cette année là, j'avais déjà cumulé 500 km. Toutefois j'étais à cette époque obèse et je sortais de quelques année de sédentarité.

Je vais chercher à capitaliser sur ma perte de 45 livres en 3 ans afin de reprendre des ailes perdus depuis trop longtemps. J'ai fait pas mal de ski alpin de manière intense cet hiver, ce qui me permet d'arriver sur ma selle avec une certaine forme. Quoique l'arrêt de 3 semaines entre les deux saisons m'a déjà fait perdre une partie de ma forme. N'empêche que ça demeure préférable que de partir depuis une condition de sédentarité complète.

Bref, je suis dans une position où je prends conscience que ma santé va beaucoup mieux. Mais je reste dans l'insécurité considérant que je reviens de loin. Donc suis-je trop gourmand à espérer réussir non seulement le 140 km du 24 avril prochain, mais aussi le 200 km suivant le 1er mai ?

Je suis sidéré par une telle ineptie, tout le monde sait aller en vélo mais désolé faire du vélo cela s'apprend et le cyclisme n'a rien à voir avec le ski, il me semble que la base c'est de faire d'abord le foncier (1200km) pour monter en endurance et en puissance. Demander à son corps un tel effort en début de saison c'est carrément carton rouge voir jouer avec sa santé, finalement le contraire du bon sens, je ne suis pas un donneur de leçons mais votre approche du vélo me donne des sueurs froide, 15'400km en 2020 pour ma part avec 3 montée du Ventoux en prime, comme on dit "petit train va loin", prudence et prenez soin de vous vos objectifs seront encore plus valorisant. Meilleures salutations

[lesagep]

Je suis sidéré par une telle ineptie, tout le monde sait aller en vélo mais désolé faire du vélo cela s'apprend et le cyclisme n'a rien à voir avec le ski, il me semble que la base c'est de faire d'abord le foncier (1200km) pour monter en endurance et en puissance. Demander à son corps un tel effort en début de saison c'est carrément carton rouge voir jouer avec sa santé, finalement le contraire du bon sens, je ne suis pas un donneur de leçons mais votre approche du vélo me donne des sueurs froide, 15'400km en 2020 pour ma part avec 3 montée du Ventoux en prime, comme on dit "petit train va loin", prudence et prenez soin de vous vos objectifs seront encore plus valorisant. Meilleures salutations

"le cyclisme n'a rien à voir avec avec le ski", hum! si notre interlocuteur suisse nous parle de "gravir" une pente, même de 4 000 mètres en cabine et s'offrir langoureusement une descente sur piste balisée, je souscris. S'il parle de se défoncer en pas décalés sur une pente abrupte de 200 mètres comme on en rencontre à St-Anne, pour ensuite récupérer en double poussée. là c'est carrément autre chose. Et il en va de même avec les longues randonnées en ski hors piste de quelques 80 Km par jours.

Me semble que sur ces aspects, oui, le cyclisme a un certain " à voir" avec une pratique du ski dans un autre contexte, soit comme celui de votre compatriote Dario Cologna, désolé cher interlocuteur suisse.

[M914]

Rien n'empêche que lors de la réalisation de la sortie, de plier bagage après 50 km si on est tanné. Personne n'aura un fusil sur la tempe avec un Pédale Chien! hurlé aux 20 secondes.

[defrag]

J'aimerais bien marquer le coup par un exploit spécifique. Mon dernier date de 2017 où j'avais participé à la populaire de 140 km du CVRM. Mais une vilaine chute au 2/3 du parcours avais coupé net ma volonté du vélo. Au 22 avril de cette année là, j'avais déjà cumulé 500 km. Toutefois j'étais à cette époque obèse et je sortais de quelques année de sédentarité.

Je vais chercher à capitaliser sur ma perte de 45 livres en 3 ans afin de reprendre des ailes perdus depuis trop longtemps. J'ai fait pas mal de ski alpin de manière intense cet hiver, ce qui me permet d'arriver sur ma selle avec une certaine forme. Quoique l'arrêt de 3 semaines entre les deux saisons m'a déjà fait perdre une partie de ma forme. N'empêche que ça demeure préférable que de partir depuis une condition de sédentarité complète.

Bref, je suis dans une position où je prends conscience que ma santé va beaucoup mieux. Mais je reste dans l'insécurité considérant que je reviens de loin. Donc suis-je trop gourmand à espérer réussir non seulement le 140 km du 24 avril prochain, mais aussi le 200 km suivant le 1er mai ?

Je vois pas le rapport entre le ski alpin et le vélo?

Si tu peux rouler x km cette semaine dans une même sortie, fais le double la semaine prochaine et ainsi de suite.

Ceci dit la saison 2021 du CVRM est sur le hold, message reçu aujourd'hui.